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7 septembre 2010 2 07 /09 /septembre /2010 07:40

http://1.bp.blogspot.com/_-nrolqmXOts/S8NNsbk2mZI/AAAAAAAAAhs/KWWSqYKbhD0/s1600/jazz_csg_043_herbie_hancock.jpg

Quelle belle et enrichissante période que celle des années 70. Le jazz et ses prinicipaux représentants, sous l'influence des nouveaux courants émergents tels que le rock, le funk, ou le R&B, tentent alors d'imprégner leurs musiques de toutes ces nouvelles sonorités qui cartonnent auprès du public et qui sont très appréciées par la jeune génération qui trouve en elles une nouvelle forme d'expression communicative, libertaire, et festive, faisant de groupes tels que Sly & The Family Stone, Bob Dylan, Jimmy Hendrix ou James Brown, les nouveaux porte-paroles d'une jeunesse à peine libérée du carcan conservateur et passéiste qui régnait jusqu'à la fin des années 60.




Le jazz n'échappe pas à cette révolution. Les ventes s'essouflent, et certains artistes sentant le vent changer, et soucieux de voir les ventes de leurs albums remonter, entrent à pieds joints dans la danse. Forts de leurs connaissances musicales variées et suffisamment ouverts d'esprit, ils produisent pour l'occasion quelques chefs-d'oeuvres rythmiques que les critiques qualifient déjà de fusion, mêlant leurs influences classiques avec le funk ou le rock, et n'hésitant plus à user d'artifices électriques avec l'emploi de claviers modernes (ARP Odyssey-Minimoog-Fender Rhodes) ou de guitares saturées.

Herbie Hancock sera de la partie, notamment depuis la parution de son tryptique publié par Warner entre 69 et 71 ("Fat Albert Rotunda" - "Mwandishi" - "Crossings"), mais également au sein du très groovy Headhunters de 1973, qui s'imposera rapidement comme un groupe de référence à l'origine de beaucoup de vocations chez les jeunes musiciens d'hier et d'aujourd'hui.

Pour vous parler de ce pianiste de génie qu'est H.Hancock (il joue son 1er concerto, le N°5 en ré majeur de Mozart à 11 ans, et découvre durant son adolescence les subtilités du jazz en reprenant certaines compositions de ses artistes préférés comme Oscar Peterson, Wynton Kelly, ou Bill Evans), décider de savoir par ou commencer n'a pas été évident. Finalement, parmi les nombreux disques que je possède de lui, mon choix s'est porté sur "Secrets", album publié en 1976 par Columbia. Contrairement à d'autres albums écrits un peu plus tôt ("Thrust" - "Sextant"), albums quelques peu expérimentaux mais qui n'en sont pour autant pas moins réussis, "Secrets" se veut plus abordable. A l'exception du batteur Harvey Mason remplacé par James Levi, on retrouve les musiciens de Headhunters (Bennie Maupin au sax et Paul Jackson à la basse), ainsi que le très funky guitariste Wah Wah Watson épaulé par Ray Parker, également à la guitare.


Aucune réelle surprise donc pour ce nouvel opus de 7 titres d'une durée de 48 minutes. Les connaisseurs ne seront pas étonnés de retrouver un thème déjà abordé mais revisité pour l'occasion ("Cantaloupe Island"), et les novices apprécieront la fraicheur et la qualité du travail bien fait que nous propose la formation. Rythmé, entrainant et funky, tout y est. Un cocktail idéal pour booster le corps et l'esprit. J'aime particulièrement le jeu du bassiste Paul Jackson, toujours aussi efficace et à la pointe de la groovitude, capable de faire se trémousser n'importe quel auditeur de ses riffs sourds et saccadés. Herbie se fait plaisir en utilisant pas moins de 10 claviers différents joués en parfaite harmonie rythmique avec le batteur et la basse, truffés de gimmicks survoltés et frénétiques dont il nous a déjà habitués avec le Headhunters. On regrettera tout de même le côté commercial qui se dégage de l'ensemble, pas vraiment dérangeant à l'écoute mais manquant par moments de quelques complications d'arrangements pour obtenir un album idéal (sutout quand on connait les capacités du groupe). Toutefois, en considérant la carrière ultra productive du pianiste, j'aurai très bientôt l'occasion de revenir sur d'autres disques, souvent différents, mais tout aussi intéressants et jouissifs.


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6 septembre 2010 1 06 /09 /septembre /2010 07:39
http://2.bp.blogspot.com/_AjbDA9vkNwY/S-dnrJ38YSI/AAAAAAAAAmM/OtB1aIIDTXg/s1600/scott5.jpg
 

Très très bel album que ce Anthem sorti en 2007, 2e disque de Christian Scott sur le label Concord, et écrit suite aux ravages causés par l'ouragan Katrina sur la Nouvelle-Orléans en août 2005. Il faut dire qu'il est particulièrement affecté par l'événement puisque lui-même y est né en 1983, plus précisément dans le Ninth Ward, et y vivait encore lors du désastre, y perdant comme la majorité des habitants sa maison et toute une part de son existence.

Il vient de ce quartier du monde où les jazzmen sont rois et où tout leur est permis. C'est là-bas qu'il fera ses armes, entre l'université de Boston et le camp de musiciens créé par son oncle, où il a encore l'habitude de retourner de temps en temps histoire de peaufiner sa technique et de se confronter à la génération montante, des gamins de 16-17 ans prêts à tout pour sonner comme personne. C'est aussi dans ce quartier qu'il se confrontera à la violence engendrée par les gangs et les guerres de territoires.

Autant dire que Christian Scott sait ce qu'il veut et où il va, fort de son charisme d'ancien footballeur et de sa belle gueule.




Sa musique est sans équivoque, mélangeant les nombreuses influences ingérées depuis son enfance, mais aussi durant son adolescence. C'est un gamin des années 80, bercé par le jazz, la soul, le hip-hop et les radios commerciales. Il n'a rien du stéréotype un peu surfait, et qui voudrait qu'un jazzman respecte les strictes exigences musicales et rythmiques du jazz, sans omettre d'intentions trop inhabituelles ou trop originales. C'est pourquoi dans ses albums, il ne se contente pas de réinterpréter ce que de nombreux autres artistes auront déjà exprimé ou tenté d'exprimer, mais apporte un vrai souffle nouveau sur la scène jazz actuelle.


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5 septembre 2010 7 05 /09 /septembre /2010 11:20

http://myrebirth.fr/files/miles-davis-5.jpg

 

Face au journaliste, Miles revient brièvement sur son parcours et sur son apport à la musique qu'il qualifie désormais volontairement de "sociale". Comme souvent, son discours ne laisse aucune place à la demi-mesure, rendant chacune de ses interventions aussi mémorables et captivantes que ses créations "jazzistiques". Son tempérament d'artiste irascible ne déstabilise pourtant le jeune interviewer avec qui il partage ces quelques minutes. Une classe et une aura d'exception qu'il pose sur des mots dont lui seul avait le secret.

 

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4 septembre 2010 6 04 /09 /septembre /2010 10:13
http://userserve-ak.last.fm/serve/500/71706052/Bon+Iver++by+Ture+Lillegraven.png

 

Le groupe Bon Iver a été inspiré par Justin Vernon, compositeur américain, chanteur, guitariste, et qui a profité d'une retraite de trois mois dans la forêt du Wisconsin pour écrire cet album sorti en 2008, fruit d'une rupture sentimentale récente. 

C'est pour moi une véritable perle de la musique folk que je ne manque pas de réécouter très souvent et qui se distingue vraiment de ce qu'il m'avait été donné d'entendre dans le genre depuis bien longtemps.

Après avoir donc passé plusieurs mois en autarcie occupé à composer et à écrire, il se décide finalement à faire écouter sa musique tout d'abord à ses proches, mais également sur le net. L'album plaît et la distribution sera vite prise en charge par le label Jagjaguwar qui n'aura pas manqué d'y voir là un succès certain.




Effectivement tout y est. Sa voix est douce et suave et ses arrangements maison vraiment charmants, allant jusqu'a nous laisser entendre le souffle d'un enregistrement sommaire et rudimentaire tout au long du disque (excepter le morceau "re:stacks", dernier de l'album, et en écoute dans cet article). C'est du presque strict voix/guitare, même si de nombreux instruments rythmiques sont utilisés et que figurent une trompette et un trombone  sur le titre "For Emma".  L'album est sans doute un peu court avec seulement neuf pistes, mais neuf pistes impéccables et dans la plus pure tradition, qu'on se repasse en boucle sans aucun problème. Vraiment réussi et ultra prometteur quant à la suite de sa carrière.


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3 septembre 2010 5 03 /09 /septembre /2010 07:39

 

 

A première vue, Donovan Frankenreiter n'a rien pour plaire (au moins aux hommes). Blond, beau gosse, champion de surf sponsorisé par une grande marque depuis ses 13 ans, et pour couronner le tout, chanteur et guitariste de blues/rock ayant déjà sorti 2 albums et un EP (rien que ça).

En fait, c'est sa femme qui, la première, le pousse à enregistrer ses chansons et à les jouer sur scène. Ca tombe bien, il a déjà un petit répertoire et décide alors de contacter son ami de longue date, le chanteur et réalisateur Jack Johnson (surfeur comme lui), qu'il connait depuis longtemps, et qui va l'aider à réaliser son souhait. Chose faite en 2005, à 33 ans, avec son premier album éponyme dont il accompagne la sortie par

une grande tournée mondiale. Cette tournée s’achèvera à la fin de la même année par un concert dans les mythiques studios d’Abbey Road (là où les Beatles ont enregistré le White Album).

Move By Yourself, l'album que j'ai choisi de vous faire partager, est dans la droite lignée de ce qu'il avait déjà entrepris un an plus tôt. 11 morceaux, plus 3 titres bonus pour un total d'un peu plus de 56 minutes. La sonorité du disque transporte inévitablement l'auditeur sur les plages de sable fin californiennes. Des titres courts sur une base de riff de guitare ou de clavier funky, voire plus soul, et le tour est joué. Le soleil, la plage, tout y est. La voix caractéristique de Donovan distille des balades très propres et sans grandes difficultés, musicalement très facile, comportant peu d'arrangements créatifs si ce ne sont des choses connues, voir attendues. Pourtant, malgré ce manque de singularité flagrante, je ne parviens pas à trouver de réels défauts à ce disque (peut-être certaines gammes ou certains accords que l'on retrouvent un peu trop souvent). Sans doute est-ce dû à la morosité et à la froideur environnantes des grandes villes, ou peut être à mon côté fleur bleue, mais le fait est que ses morceaux, en les écoutant avec parcimonie et de manière espacée (pour eviter un gavage tout de même possible), peuvent être de vrais antidépresseurs, comme ce "That's Too Bad" que je vous laisse en écoute.


http://www.charlestoncitypaper.com/binary/b5bf/DonavonFrankenreiter2010.15_resized.jpg


Pour faire simple, une fois laissés de côté les clichés stéréotypés du genre (le surfeur blondinet qui se met à la chanson), et après avoir considéré l'exercice, non pas comme une tentative tendant à révolutionner la musique, actuelle mais simplement comme un délire de hippie branché, touche-à-tout, plutôt talentueux, et qui se fait plaisir en profitant au maximum de ce que la vie lui offre, on se laisse très facilement emporté par ce flot marin et ensoleillé. Pour tout cela, pour cette simplicité loyale et ce côté "sans prétention" de celui qui ne cherche pas à se faire passer pour ce qu'il n'est pas, je pense que ce disque vaut le coup et qu'il tiendra sur la longueur (en tous cas pour moi qui l'ai depuis 3 ans, et je l'écoute toujours avec beaucoup de plaisir).


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